Presse

LE FRONT DE LIBERATION DE L'ETAT DU CABINDA VOUS SOUHAITE LA BIENVENUE !

DATE : 4 Juillet 1999


Attaque des FLEC près de Malongo (CABINDA)

 Plusieurs déflagrations ont été entendues à quelques kilomètres de Malongo (CABINDA), oú sont logés techniciens et cadres étrangers. Selon nos sources, ces bombardements auraient été perpétrés par nos combattants, il y aurait eu 47 soldats tués du coté des forces d'occupation (FAPLA).
Cet endroit est très stratégique car l'essentielle de la production est extraite sur ce site (plus d'1 million de barils/jour).
Il est bon de rappeler que les Cabindais ne profitent pas de cette manne pétrolifère.
 

SOURCE : FLEC Secrétariat à l'information

 


Mobilisation des Cabindais à Paris

 Les FLEC organisent ce Dimanche 11 Juillet 1999 à partir de 14 h une rencontre entre tous les patriotes Cabindais et sympathisants résidants en France et à l'étranger.
 Cette rencontre à pour but de faire un bilan de la situation politique et militaire dans notre pays.
Pour de plus amples renseignements veuillez nous contacter par e-mail : info@cabinda.org

 SOURCE : FLEC Secrétariat à l'information

 


Arrestation arbitraire de 5 Cabindais à Kinshasa depuis Mai 1998...

 Suite à la demande du gouvernement du PORTUGAL, demandant aux autorités du gouvernement de Mr.Kabila , la libération des 5 responsables Cabindais détenus arbitrairement depuis Mai 1998 dans des conditions lamentables, et de préparer leur départ pour Lisbonne, afin de bénéficier du statut de réfugié.
Les autorités de la RD-CONGO ont dû répondre positivement à l'exigence du ministre de l'intérieur Angolais qui souhaite l'extradition des 5 Cabindais à Luanda (ANGOLA), dont les noms sont cités si dessous :


-Mr.Antonio Maria SUCO

-Mr.ZENGA Mambo

-Mr.Afonso MASSANGA
-Mr.NDULI Alberto
-Mr.NZITA Emmanuel
 -Les F.L.E.C. souhaitent l'intervention de Amnesty International. 

 

SOURCE : FLEC Secrétariat à l'information

 


Mise en expulsion d'un réfugié CABINDAIS...

 Mr MOKO BUNDU Patrick, réfugié CABINDAIS est détenu depuis le 11 Juin 1999 à Zurich (SUISSE). Les autorités Helvétiques veulent l'expulser vers une destination inconnue.
 Les F.L.E.C. souhaitent l'intervention de Amnesty International. 

 SOURCE : FLEC Secrétariat à l'information

 

L'unité CABINDAISE est irréversible...

 Suite à une réunion qui s'est tenue à Paris le 11 Juillet 1999, il a été décidé que les CABINDAIS devaient parler d'une seule voix pour retrouver la souveraineté du territoire CABINDAIS, et combattre notre seul et unique ennemi : l'armée d'occupation Angolaise du MPLA. 

 SOURCE : FLEC Secrétariat à l'information

 

 

CABINDA : le pétrole et la faim...

 Au-delà des frontières Nord de l'Angola, le CABINDA situé entre RD-Congo et Congo Brazzaville, qui fournit les deux tiers de la production pétrolière Angolaise. Il est l'enjeu d'une lutte acharnée entre les forces d'occupation Angolaise du MPLA et les combatants de la liberté des F.L.E.C. (Force de Libération de l'Etat du CABINDA). Les soldats du MPLA pillent, détruisent et assassinent; des opérations de nettoyage lancées par l'armée d'occupation provoquent l'exode massif des populations vers les agglomérations épargnées. Ces réfugiés se retrouvent à 10, 15 ou 20 sous le toit d'un parent ou d'un ami et se partagent une nourriture rationnée.
La Caritas diocésaine du CABINDA lance un appel pathétique pour la fourniture à ces déplacés, du minimum indispensable à leur survie loin de leur villages : aliments, ustensiles de cuisine, savons, couvertures, vetements, médicaments... Le Secours Catholique répond par une participation de 100.000 Francs, consacrée aux besoins en nourriture.
Compte tenu de la situation dans la région et des difficultés à surmonter, le Secours Catholique à demandé à la Caritas de Pointe-Noire (Congo), d'effectuer les achats pour son compte, à destination du CABINDA. L'envoi des fonds du Secours Catholique est prévu en deux phases : une première tranche de 50.000 Francs sera versée à la Caritas de Pointe-Noire pour l'achat de riz, haricots et huile sur son marché local. Au reçu d'un rapport de bon déroulement de cette première phase (distribution des produits aux personnes concernées), la seconde tranche de 50.000 Francs sera versée à Pointe-Noire pour un nouvel envoi de vivres.
ACF dénonce l'agravation alarmante de l'etat précaire des Cabindais et le "manque de volonté diplomatique du gouvernement Angolais avec le Gouvernement Cabindais en exil des F.L.E.C." pour un accord de paix.

Tchiowa (CABINDA) mai dernier pour une poignée de maïs
Policier Angolais :
Tchiowa (CABINDA), mai dernier pour une poignée de maïs.

SOURCE : Caritas FRANCE (Secours Catholique) François TCHERKESSOF

 

Décès du général Alfred RAOUL, Congolais originaire du CABINDA...

 Le gouvernement en exil des Forces de Libération de l'Etat du CABINDA (FLEC) présente ses condoléances les plus attristées à la famille du général des armées Congolaises Alfred RAOUL décèdé à Paris (FRANCE) le 16 Juillet 1999. Le général Congolais a servi au Congo en occupant des postes de hautes fonctions tels que : Chef d'état major général de l'APN (armée populaire nationale), président, premier ministre, ambassadeur de la république populaire du Congo. Nommé général des armées par le gouvernement du président de la république du Congo Mr Pascal LISSOUBA, jusqu'à la fin de ses jours.
Nous tenons à préciser que ce haut fonctionnaire Congolais n'a pas contribué à la lutte de libération du peuple Cabindais, sachant que celui-ci pouvait décider du sort de son peuple abandonné, et souhaitait le retour des réfugiés Cabindais dans un CABINDA occupé par l'armée d'occupation Angolaise du MPLA. Par consequent, les Forces de Libération de l'Etat du CABINDA (FLEC) demandent à tous les Cabindais dans le monde, d'avoir un sens de la patrie. 

SOURCE : FLEC Porte parole du gouvernement Pedro LUFUNDO

 


Violations des droits humains contre des personnes soupçonnées d'appartenir au FLEC...

En 1998, au CABINDA, les forces gouvernementales se sont rendues responsables de passage à tabac, de "disparitions" et d'exécutions extrajudiciaires. Entre le 22 et le 24 août, les troupes angolaises ont effectué des raids sur plusieurs villages au nord de cette région dont les habitants étaient, semble-t-il, soupçonnés d'être des sympathisants du FLEC. Des gens ont été ligotés et frappés à coups de crosse, d'autres ont été tués et des maisons ont été brûlées. Dans le village de Tseke M'Baza huit jeunes hommes auraient été enfermés dans une maison qui a ensuite été incendiée. Dans le village de Londe Luconzi cinq autres jeunes gens, dont Jorge Cuba et un citoyen de la République du Congo, ont été tués. Dans le village de Maluango N'zau, Teôfilo Ndendele a " disparu" après son arrestation. Les villageois se sont enfuis. D'après certaines informations, la plupart craignait de revenir mais quelques femmes s'y sont risquées pour récupérer quelques biens et enterrer les morts. En août 1998 également, des soldats gouvernementaux basés en République démocratique du Congo sont entrés dans le centre de Cabinda, ont attaqué les maisons, violant des femmes, arrêtant et tuant des hommes. Pedro Zacarias Lelo et Vicente Arrnando ont été arrêtés en septembre 1998 alors qu'ils circulaient en voiture dans les environs de la ville de Cabinda. Ils étaient apparemment soupçonnés d'être membres d'une faction du FLEC. Ils auraient d'abord été emmenés dans un centre de la police militaire. En novembre, des témoins ont rapporté que leur véhicule était garé dans un camp militaire et qu'un corps portant des vêtements semblables à ceux de Pedro Zacarias Lelo, avait été vu sur un terrain voisin parsemé de mines. Il ne semble pas que la moindre enquête ait été ouverte au sujet de la " disparition " des deux hommes.

Atteintes aux droits humains en République démocratique du Congo et en République du Congo :

Des atteintes aux droits humains sont imputées aux troupes angolaises qui, depuis août 1998, combattent en République démocratique du Congo (RDC) pour soutenir le président Laurent Kabila, ainsi qu'aux troupes qui sont restées en République du Congo après avoir aidé le président Denis Sassou Nguesso à évincer l'ancien président Pascoal Lissouba en octobre 1997.

En RDC, les soldats angolais auraient pénétré en août 1998 dans le camp de réfugiés de Kimbianga, près de la frontière de Cabinda, sur les rives du fleuve Chiluango et auraient tué des réfugiés, en contraignant d'autres à fuir.

De nombreux réfugiés de Cabinda sont rassemblés près de Pointe-Noire, dans le sud de la République du Congo. Ils auraient été victimes de violences de la part des soldats angolais basés dans la ville. Une femme de vingt-trois ans vivant au CABINDA, et qui a souhaité garder l'anonymat, a raconté qu'elle avait été violée dans la nuit du 29 juillet 1998 à Makayabou, faubourg de Pointe-Noire, par des soldats angolais. Ceux-ci au nombre de sept, ont d'abord réclamé de l'argent. Pendant que son mari allait chercher du secours, trois d'entre eux l'ont frappée à plusieurs reprises puis l'ont violée. Quand le mari est revenu accompagné de policiers congolais, les soldats angolais se sont éloignés en tirant des coups de feu en l'air. Un policier, auquel la femme a exposé le lendemain ce qu'elle avait subi, a refusé d'enregistrer sa déclaration. À la connaissance d'Amnesty International, les autorités congolaises n'ont pris aucune initiative au sujet de cette affaire.

Le comportement de la police :

" Dans l'accomplissement de leur devoir, les responsables de l'application des lois doivent respecter et protéger la dignité humaine et défendre et protéger les droits fondamentaux de toute personne " (Code de conduite pour les responsables de l'application des lois, article 2).

La police est habituée à abuser de son pouvoir. Les policiers de rang inférieur sont mal rémunérés. Ils exigent fréquemment des pots de vin ou tentent d'obtenir des vivres par la force. En cas de résistance les gens s'exposent à être battus, blessés ou même tués. De nombreuses informations font état de tels faits contre des personnes qui ont tenté d'opposer une résistance. Il est rare que ces informations fassent l'objet d'une enquête et que la police ait a rendre des comptes.

Violences contre les suspects :

Un grand nombre de victimes de meurtres attribués à des policiers sont des suspect de droit commun ou des gens qui ont simplement désobéi à un ordre de la police. En mars 1998, António Mavungo, ouvrier dans un service de ravitaillement, serait mort d'un coup à la tête porté par un policier à Cacongo, Cabinda, au cours d'une discussion à propos d'un récipient à eau. Alors qu'António Mavungo se baissait pour ramasser le récipient, le policier l'aurait frappé à la nuque avec la crosse de son arme. Le policier aurait pris la fuite avec un collègue dans un véhicule volé. Le commandant de la police de Cacongo a rapidement ordonné l'arrestation des deux policiers mais on n'a pas entendu parlé de mise en détention ou d'inculpation de quiconque en relation avec le meurtre. Des représentants des Églises ont également été arrêtés ou menacés pour avoir exercé leur droit à la liberté de parole. Afonso Justino Waco, un pasteur protestant, a été arrêté au CABINDA en août 1998 après avoir donné une interview à la radio et a été accusé de diffamation à l'encontre du gouvernement. Amnesty International l'a considéré comme un prisonnier d'opinion. Le pasteur Waco, qui est un militant non-violent de la cause de l'indépendance de Cabinda, avait parlé au micro de la Voix de l'Amérique de mouvements de troupes angolaises à la frontière de Cabinda et de la République démocratique du Congo. Il a été libéré cinq jours après son arrestation, le lendemain du jour où le gouvernement avait confirmé l'envoi de troupes en République démocratique du Congo.

Toujours au CABINDA un prêtre catholique a exprimé dans un sermon en septembre 1998 son inquiétude devant le fait que d'anciens, membres du FLEC avaient donné aux autorités les noms de personnes soupçonnées d'avoir apporté leur soutien au FLEC. Amnesty International a reçu la copie d'une lettre adressée par le délégué provincial du ministère de l'intérieur à l'évêque de Cabinda, dans laquelle il affirmait que son attitude incitait à la désobéissance civile. L'auteur de la lettre déclinait toute responsabilité pour ce qui pourrait arriver si le prêtre concerné ne changeait pas de comportement. 

SOURCE : Amnesty International Rapport 1998

 

La leçon Cabindaise du Timor-Oriental...

 C'est avec beaucoup d'attention qu'une délégation du Front de Libération de l'Etat du Cabinda (FLEC), envoyée speciale à Dili (Timor-Oriental),a pu observer le deroulement du scrutin du processus référendaire d'autodétermination du Peuple timorais. Bravo! Une fois encore la vox populi, vox Dei (la voix du peuple, c'est la voix de Dieu), a triomphé devant les intérêts obscurs d'un pays tiers:l'Indonésie.Oui le Timor-Oriental a accepté à plus de 78% l'indépendance totale, et de mettre fin aux vingt-quatre années de dictature et d'occupation illégale de son territoire. Ironie du sort, c'est le Portugal (celui-là même qui s'etait dérobé à l'appel de l'histoire lors de son annexion manu militari) qui a été très actif dans le déroulement de ces tractations, saisi du devoir moral de non-assistance à peuple en danger à la vue de ce peuple meurtri par tant d'années d'oppression diabolique. Face à cela, le Cabinda,terre des hommes pacifiques et protectorat portugais, ne saura être en retrait très longtemps: c'est le moment ou jamais, pour lui, de bénéficier du même traitement de son ancien protecteur,le Portugal. Le peuple Cabindais, de Miconje à Iema et de Massabi à Zenze de Locula, est prêt à braver les 25.000 soldats angolais de Dos Santos qui occupent militairement et illégalement son territoire et violent les normes imperatives du droit international au Cabinda depuis 1975. l'expérience de l'Erythrée hier et du Timor-Oriental aujourd'hui est une leçon que les coriaces responsables de l'Angola populaire doivent assimiler, pour stopper leur politique expansioniste et s'asseoir autour d'une table avec les membres Cabindais du F.L.E.C et entamer des négociations sincères et veritables. Négociation oui, mais uniquement sur le domaine énergétique,afin d'éviter la banqueroute à l'Angola [...]. L'ancienne métropole, le Portugal, doit se prononcer [...] C'est à ces conditions que les Cabindais sont prêts pour le règlement pacifique de l'épineux problème du différent territoire Cabinda/Angola qui menace la paix dans la region D'Afrique centrale. 

 

SOURCE : Journal L'AUTRE AFRIQUE N°98

 


Visite du président des droits de l'homme de la R.D.Congo...

 IL y'a trois semaines le président des Droits de L'Hommme a rendu Visite aux Prisonniers Cabindais detenus arbitrairement dans une prison inconnue à Kinshasa Capitale de la R.D.Congo selon les sources F.L.E.C, Nous comptons un total de dix (Cabindais) Combattants de la Libèrté sous les verrous dans ce pays depuis le mois d'avril 1998. Nous souhaitons vivement L'aide des Organismes Internationaux tels que Amnesty international et Autres. . 

 

SOURCE : FLEC Secrétariat à l'information

 


Comandante António Luís LOPES et Maitre J-M VARAUT sont invités à la Radio...

Les journalistes de la radio FM, Tam-Tam 106.3 Mghz (Paris Pluriel) à Paris, ont invité le Président António Luís LOPES et Maitre Jean-Marc VARAUT(Avocat du gouvernement du Cabinda en exil) ce dimanche 17 Octobre 1999 à 11 heures. Compte tenu de la situation au Timor oriental, le Président et l'avocat seront présents à la Radio pour rappeler au Portugal ses erreurs passées, et de prendre ses résponsabilités. 

SOURCE : FLEC Secrétariat à l'information

 

Plusieurs Cabindais ont été envoyés en exil...

L'armée d'occupation angolaise au Cabinda a envoyée plusieurs Cabindais en exil à l'intérieur et à l'extérieur du territoire Cabindais. Les Cabindais qui habitaient dans les villages, se sont réfugiés dans la ville de Tchiowa ( Capitale du Cabinda ), plusieurs sont partis en R.D-CONGO. Les villages sont abonnés, une strategie de l'armée d'occupation pour éviter l'infiltration des combattants de la liberté des FLEC. Des soldats angolais du Mpla qui se promenent dans les villages armés jusqu'aux dents, s'ils ne sont pas pris en auto-stop, ils menacent avec une grenade tout en ayant le doigt sur la gachette de leur arme. L'armée angolaise du Mpla n'a que des soldats mendiants jusqu'à même vous demander des cigarettes. 

SOURCE : LA RESISTANCE CABINDAISE-FLEC Secrétariat à l'information

 

 Conférence de presse Cabindaise, Lundi 20 Décembre 1999 à Paris...

 POUR UNE RECONNAISSANCE DU DROIT A L'INDEPENDANCE DU CABINDA

Le CABINDA, protectorat portugais de la Côte Ouest de l'Afrique, a été envahi en 1975 par les troupes angolaises avec la bénédiction de l'Union Soviétique et la complicité passive des occidentaux. Le CABINDA subit une occupation étrangère depuis près de trente ans et voit lui échapper les bénéfices des fabuleuses ressources énergétiques qu'il recèle et qui permettraient un développement économique et social harmonieux au lieu du sous-developpement actuel. La situation de ce pays est identique à celle de Timor occupé par l'Indonésie, et depuis libéré sous la médiation de l'ONU, n'a cessé de connaître que depuis peu. 
La population de ce Koweit africain qui n'a rien en commun avec l'occupant -ils ne peuvent se comprendre qu'en parlant portugais -revendique avec force son identité Cabindaise. Pour ce seul tort, la répression du gouvernement Dos Santos est impitoyable.
Le Front de Libération de l'Etat du Cabinda a décidé aujourd'hui d'engager la lutte sur le terrain du droit international, pour faire reconnaître par la Communauté internationale le droit du peuple Cabindais à disposer de lui-même et mettre fin à l'occupation illégale et cruelle de son pays.
Au cours de cette conférence de presse vous serez informés des recours qui ont été engagés devant l'Assemblée Générale de l'ONU, la Commission des Droits de l'Homme de l'ONU à Genève, et la Cour Internationale de Justice de la Haye.

SOURCE : LA RESISTANCE CABINDAISE-FLEC Secrétariat à l'information

 


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